Rediffusion d’un article publié le 15 décembre 2015
Du côté des lettres - Lettres d’une Assyrienne à son mari et réponse de ce dernier (XIXe siècle av. J.-C.) : comptes entre époux
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Depuis longtemps, les correspondances alimentent le travail des historiens. Aux noms de mathématiciens renommés s’associent des centaines de correspondants, illustres ou anonymes, tissant ainsi un vaste réseau de sociabilités. Dans cette série « Du côté des lettres » nous proposerons périodiquement la lecture commentée d’une lettre autour des mathématiques. S’appuyant sur les nombreux travaux d’édition de correspondances de mathématiciens en cours ou achevés, elle offrira aux lecteurs d’Images des Mathématiques une fenêtre ouverte sur les coulisses de la fabrication du savoir mathématique et de la vie mathématique, alternant lettres scientifiques et lettres plus intimes, correspondances anciennes et contemporaines.
Rediffusion d’un article publié le 15 décembre 2015
Episode n°5
Lettres d’une Assyrienne à son mari et réponse de ce dernier (XIXe siècle av. J.-C.) : comptes entre époux
La pratique épistolaire est très ancienne ; elle est attestée par les sources cunéiformes dans le sud de la Mésopotamie depuis la deuxième moitié du IIIe millénaire av. J.-C. [1] ; à l’époque il s’agit de lettres officielles au formulaire très simple et répétitif, ou encore de billets administratifs qui ne portent pas la mention de l’expéditeur. Les lettres d’archive apparaissent au tout début du IIe millénaire. Écrites en akkadien, une langue sémitique, elles proviennent surtout de palais et de maisons privées.
Les archives privées de Kanish (Anatolie centrale, Turquie), rédigées en vieil assyrien, un dialecte de l’akkadien, et datant de la première moitié du XIXe siècle av. J.-C., représentent les premières sources écrites privées importantes en nombre ; elles incluent la correspondance échangée entre les Assyriens résidant sur place et leurs familles et collègues demeurés à Assur (Irak) ou installés dans d’autres comptoirs de commerce assyriens en Anatolie. En effet, au début du IIe millénaire av. J.-C., les Assyriens originaires d’Assur se sont installés en Anatolie centrale, et en particulier à Kanish à plus d’un millier de kilomètres de chez eux pour vendre l’étain et les étoffes qu’ils apportent avec eux. En retour, ils expédient à Assur de l’or et de l’argent. Leur commerce est favorisé par des accords passés avec les princes anatoliens des différentes cités-États dans lesquelles ils ont organisé des comptoirs commerciaux.
- Carte de haute Mésopotamie et Anatolie.
- Cécile Michel et Martin Sauvage.
Les ruines de l’ancienne ville d’Assur, sur le Tigre dans le Nord de l’Irak, sous le contrôle de Daesh depuis l’été 2014, ont livré surtout des vestiges de la fin du IIe et du Ier millénaire av. J.-C., du temps de la splendeur de l’empire assyrien. En revanche, le site de Kültepe, l’ancienne Kanish, proche de la ville moderne de Kayseri, a produit à ce jour 22 500 tablettes d’argile crue recouvertes de signes cunéiformes, tablettes toujours en cours de déchiffrement. Le site se divise en deux secteurs principaux : le tell [2] circulaire et la ville basse. Les tablettes proviennent de la ville basse ; elles ont été trouvées dans les maisons des marchands, assyriens. Ce niveau fut détruit par un incendie qui assura la cuisson d’un grand nombre de tablettes, ce qui explique leur bon état de conservation.
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Les lettres représentent environ un tiers des archives, le reste est constitué de contrats, divers autres documents juridiques et notices privées anonymes. La distance séparant Assur de l’Anatolie centrale – soit un voyage de six semaines pour les caravanes de marchandises – explique l’importance de cette correspondance : les lettres permettaient aux membres d’une même famille de communiquer ou encore aux marchands de mener leurs affaires avec leurs agents. Elles peuvent donc avoir un caractère purement commercial ou contenir aussi des éléments relatifs à la vie privée. Parmi les correspondants figurent des femmes ou filles de marchands. Leur courrier montre ces femmes bénéficiant d’une certaine indépendance à la fois sur le plan familial que d’un point de vue économique. Épouses de marchands souvent absents, elles ont des activités multiples qui relèvent non seulement de la vie quotidienne de femmes au foyer, mais aussi de chef de famille en charge du bâtiment, des biens et des personnes qu’il abrite. En plus de leurs tâches domestiques, les Assyriennes prennent part aux échanges internationaux avec l’Anatolie centrale en alimentant le commerce international par la confection d’étoffes et sont payées en retour. Elles représentent aussi les intérêts de leurs maris dans la capitale.
La production textile privée à Assur et sa commercialisation en Anatolie est particulièrement bien documentée par les lettres envoyées par Lamassî à son époux Pushû-kên, lettres qui ont été exhumées dans la maison de ce dernier à Kanish ; une copie d’une lettre envoyée par Pûshu-kên à sa femme figure également dans ses archives. Lamassî, mère de quatre fils et une ou deux filles, est restée à Assur tandis que son mari s’est installé à Kanish pour les besoins du commerce, et revient à Assur de temps à autre. Lamassî, avec ses filles et ses domestiques, confectionne des étoffes que Pûshu-kên revend sur les marchés anatoliens.
- Fusaïoles et pesons de Kültepe.
- ©Mission archéologique de Kültepe.
Le savoir-faire des Assyriennes est particulièrement apprécié ; les étoffes qu’elles tissent sont variées. Leur production étant commercialisée, elles sont jugées sur le niveau technique de leur tissage. Les marchands, présents sur le marché en Anatolie centrale, savent reconnaître la qualité des étoffes qu’ils reçoivent et, en fonction de la nature de la demande, leur donnent fréquemment des conseils... pas toujours appréciés comme le laisse entendre Lamassî dans ses lettres (1 et 2).
Lettre 1 |
Les étoffes destinées à l’exportation sont en laine ; elles mesurent 4 m sur 4,50 m et pèsent environ 2,5 kg (5 mana). Les maisons de Kanish ont livré nombre de fusaïoles et pesons pour métiers à tisser verticaux, et on peut imaginer qu’il en allait de même à Assur. Textes et archéologie expérimentale ont permis d’estimer le temps nécessaire à la production d’une telle étoffe. Pour une femme seule, il faut une vingtaine de jours pour nettoyer et peigner la laine, plus de deux mois pour la filer, et un mois pour monter le métier à tisser et filer ; une femme ne peut donc pas produire plus de 2 ½ coupons par an, et une riche maisonnée comme celle de Lamassî, comportant près d’une dizaine de femmes actives, pas plus de 25 étoffes de telles dimensions, dont 20 sont expédiées en Anatolie.
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La quantité de laine utilisée pour fabriquer une étoffe permet d’avoir un textile plus ou moins dense, et donc plus ou moins chaud. Avant de recevoir cette lettre, Lamassî a envoyé d’autres étoffes à son époux, comme elle l’explique dans la lettre suivante.
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Une fois les étoffes confectionnées, Lamassî en organise l’expédition vers l’Asie mineure. Elle passe des accords avec divers transporteurs qui acceptent d’en transporter seulement quelques unités en plus de leurs propres marchandises chargées sur des ânes. Elle tient la comptabilité des coupons d’étoffes qu’elle envoie en Asie Mineure et attend en retour son dû en argent. Comme les autres femmes d’Assur, elle connaît parfaitement les prix de vente que ses étoffes peuvent atteindre. Les Assyriennes n’hésitent pas à négocier, à distance, les prix auxquels leurs étoffes doivent être vendues comme le montre cette lettre de Tarâm-Kûbi à son frère : « Kutallanum t’a apporté 6 étoffes dans son précédant transport. Tu m’as envoyé 1 mana 10 gin d’argent, et depuis que tu es parti, tu ne m’as rien envoyé d’autre ! À qui donc, si ce n’est moi, tu aurais envoyé seulement 1 mana 10 gin pour 6 textiles ? Maintenant Kutallanum t’apporte 6 autres étoffes. Si tu es mon frère, tu ne dois pas m’envoyer moins de ⅓ mana par étoffe [10] ! » Les Assyriennes sont donc payées à la pièce pour leur production d’étoffes. Tarâm-kûbi a compté que chacune de ses étoffes ne lui a rapporté que 11 2/3 gin, ce qui est bien inférieur à ce qu’elle attendait. En bonne négociatrice, elle réclame ⅓ mana, soit 20 gin, c’est-à-dire davantage que le prix normal qui se situe généralement autour des 15 gin d’argent.
Dans une lettre qu’il adresse à son épouse Lamassî et dont il a gardé copie dans ses archives, Pûshu-kên explique comment les 20 étoffes qu’elle lui a envoyées ont été vendues et il précise le montant en argent qu’elle doit attendre de leur vente.
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Dans cette lettre, Pûshu-kên accuse réception des étoffes que Lamassî lui a envoyées par différents transporteurs. Sur les convois d’étoffes une taxe d’importation de 5% est prélevée par le palais anatolien (soit 1 étoffe sur 20), et ce dernier se réserve la possibilité d’acheter 10% des étoffes d’un convoi à un prix réduit (soit 2 étoffes sur 20). Il reste donc 17 étoffes sur cet envoi, et Pûshu-kên prélève 3 étoffes sur les autres envois afin de remettre un lot de 20 étoffes à Puzur-Assur le chargeant d’aller les revendre au meilleur prix dans d’autres villes anatoliennes. Des trois autres envois, il reste donc 11 étoffes dont il se charge lui-même de la vente : 9 étoffes proviennent de Lamassî et 2 de Shubultum. Il envoie à son épouse ½ mana d’argent pour Shubultum, soit 15 gin par étoffes, et le double à Lamassî, ce qui correspond donc au prix de 4 étoffes ; le paiement des 5 étoffes restantes est annoncé pour plus tard.
Lamassî utilise une partie de ses revenus pour acheter de quoi nourrir sa maisonnée et ce dont elle a besoin au quotidien ; elle investit une autre partie dans des opérations financières lui permettant de faire fructifier ses capitaux, et avec le reste, elle achète de la laine pour confectionner de nouvelles étoffes. Sur une étoffe envoyée depuis Assur et vendue 15 gin d’argent en moyenne à Kanish, elle peut espérer récupérer entre 10 et 12 gin une fois les taxes et les frais de transports déduits. Or avec 1 gin, il est possible d’acheter à Assur la laine nécessaire à la confection de deux étoffes. Lamassî devait être capable d’estimer la quantité de laine dont elle avait besoin pour tisser un nombre défini d’étoffes, sachant que pendant les opérations de nettoyage et préparation de la laine au filage, il pouvait y avoir une perte d’environ 30% de matière première. Une maisonnée comme celle de Lamassî, capable d’envoyer une vingtaine d’étoffes par an en Anatolie, recevait annuellement entre 3 ½ et 4 mana d’argent comme revenu brut, soit le prix d’une maison modeste à Assur.
Grâce à leur contribution au commerce à longue distance par leur production d’étoffes, les Assyriennes possèdent donc des capitaux en propre, indépendamment de leurs maris et distincts de leur dot. Avec ces fonds, elles participent à toutes sortes d’opérations financières : prêts, associations commerciales, investissement dans des caravanes commerciales, etc. Mari et femme gèrent chacun, séparément, leurs capitaux qui sont clairement identifiés comme en témoigne leur correspondance. Les Assyriennes, sont dépeintes par les archives de Kanish comme de véritables femmes d’affaires qui gèrent leurs propres biens avec beaucoup d’efficacité et interviennent régulièrement comme représentantes ou associées de leurs maris.
Les lettres du type de celles-présentées ci-dessus sont nombreuses dans les archives exhumées dans les maisons des Assyriens à Kanish ; elles permettent entre autres aux marchands et à leurs sœurs et épouses de tenir leurs comptes. Ces lettres ont été archivées en partie en raison des données comptables qu’elles comportent ; il était courant de rechercher dans les archives des tablettes témoignant de transactions particulières. Or certaines archives pouvaient contenir des centaines de tablettes arrangées par dossiers dans des jarres, des sacs ou des coffres posés sur des étagères ou à même le sol et identifiés par des étiquettes en argile.
Le syllabaire en usage chez les Assyriens au début du IIe millénaire av. J.-C. est relativement simple, et ne comprend pas plus de 150 à 200 signes. Les lettres semblent avoir été souvent écrites par leurs auteurs ; beaucoup de marchands, en déplacements fréquents, ne pouvaient avoir toujours un scribe à leur disposition. Certains marchands ont appris à lire, écrire et compter chez un maître scribe ; des textes scolaires découverts dans certaines archives ou encore à Assur montrent le type d’exercices pratiqués par les élèves : des conversions d’un poids de métal dans un autre selon un taux prédéfini. Toutefois, la plupart des marchands ont appris les rudiments de l’écriture et du calcul à la maison ; ils ont acquis suffisamment de connaissances pour écrire leur propre courrier et leurs comptes. On peut en effet distinguer les tablettes parfaitement formées remplies d’une écriture régulière, d’autres, rapidement façonnées et mal écrites, avec des fautes de signes et de grammaire. Il est probable que certaines femmes ont également appris à lire, écrire et compter. Au moins un texte mentionne un document comptable rédigé par une femme. Il est important de rappeler que ces archives appartiennent à une société particulière, faite de marchands qui avaient des conditions de vie inhabituelles et étaient régulièrement séparés de leurs épouses.
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BIBLIOGRAPHIE
Lettres
[1] Tablette conservée dans la Yale Babylonian Collection (New Haven, États-Unis) sous le numéro d’inventaire NBC 03658.
Copie cunéiforme publiée par S. Stephens, Old Assyrian Letters and Business documents, Babylonian Inscriptions in the Collection of J. B. Nies, Part 6, New Haven, 1944, n° 11.
Traduction en français : Michel 2001, n°302.
[2] Tablette conservée dans la Yale Babylonian Collection (New Haven, États-Unis) sous le numéro d’inventaire NBC 01678.
Copie cunéiforme publiée par A.T. Clay, Letters and Transactions from Cappadocia, Babylonian Inscriptions in the Collection of J. B. Nies, Part 4, New Haven, 1927, n°10.
Traduction en français : Michel 2001, n°303.
[3] Tablette conservée dans la Yale Babylonian Collection (New Haven, États-Unis) sous le numéro d’inventaire NBC 01679.
Copie cunéiforme publiée par A.T. Clay, Letters and Transactions from Cappadocia, Babylonian Inscriptions in the Collection of J. B. Nies, Part 4, New Haven, 1927, n°9.
Traduction en français : Michel 2001, n°304.
[4] Tablette conservée au British Museum (Londres, Grande-Bretagne) sous le numéro d’inventaire BM 115057.
Copie cunéiforme publiée par P. Garelli, D. Collon, Cuneiform Texts from Cappadocian Tablets in the British Museum, Part 6, London, 1975, n°11a.
Traduction en français : Michel 2001, n°300.
Pour aller plus loin
C. Michel, 1998. Les marchands et les nombres : l’exemple des Assyriens à Kaniš, dans J. Prosecky (éd.), Intellectual Life of the Ancient Near East, CRRAI 43, Prague, p. 249-267.
C. Michel, 2001. Correspondance des marchands de Kaniš au début du IIe millénaire av. J.-C., Littératures du Proche-Orient ancien, n˚19, Editions du Cerf, Paris, 2001.
C. Michel, 2006a. Calculer chez les marchands Assyriens au début du IIe millénaire av. J.-C. CultureMATH, mai 2006.
C. Michel, 2006b. Femmes et production textile à Aššur au début du IIe millénaire avant J.-C., Techniques & culture 46, p. 281-297.
C. Michel, 2008a. Ecrire et compter chez les marchands assyriens du début du IIe millénaire av. J.-C., dans T. Tarhan, A. Tibet et E. Konyar (éd.), Muhibbe Darga Armağanı, Istanbul : Sadberk Hanım Müzesi, 2008, p. 345-364.
C. Michel, 2008b. Femmes de marchands assyriens, Pour la Science 370, août, p. 30-34.
C. Michel, 2009. Les femmes et l’écrit dans les archives paléo-assyriennes (XIXe s. av. J.-C.), dans F. Briquel-Chatonnet, S. Fares, B. Lion et C. Michel (éd.), Femmes, cultures et sociétés dans les civilisations méditerranéennes et proches-orientales de l’Antiquité, Topoi, Suppl. 10, 2009, p. 253-272.
C. Michel, 2011. Artisanat textile au Proche-Orient ancien, Pour la Science 404, juin 2011, p. 54-61.
C. Michel, 2014. « Estimating an Old Assyrian Household Textile Production with the Help of Experimental Archaeology : Feasibility and Limitations », Traditional Textile Craft – an Intangible Cultural Heritage, Amman, March 2014, E. Andersson Strand & M. Harlow (ed.).
L’auteure de cet article remercie chaleureusement Sébastien Gauthier pour ses conseils avisés ainsi que Christine Proust pour sa relecture.
Merci également à janpol3, Nathalie Cartier et Sébastien Martinez pour leurs relectures et commentaires judicieux.
Notes
[1] Pour une présentation générale de l’écriture cunéiforme, voir le dossier Ecriture cunéiforme et civilisation mésopotamienne.
[2] Un tell est une colline artificielle formée par les ruines de la ville antique.
[3] L’argent (et ci-dessous le cuivre et la laine) est pesé selon le système pondéral en vigueur : 1 mana (environ 500 g) = 60 gin, 1 gin pesant un peu plus de 8g. Les systèmes métrologiques utilisés par les marchands assyriens sont expliqués sur le site du cdli:wiki dans la rubrique « Old Assyrian Private Trade ».
[4] Les Assyriennes tissent des étoffes différentes pour lesquelles il est difficile de donner une traduction en français. Les principales étoffes exportées en Anatolie sont les étoffes-kutānum.
[5] Lamassî demande à son époux d’accuser réception des coupons d’étoffe qu’elle lui envoie.
[6] Les maisons sont bâties en briques d’argile crue ; le toit plat repose sur des poutres sur lesquelles reposent des nattes en roseaux, de l’argile et de l’enduit. Ce ne sont pas des constructions qui résistent au temps, il faut régulièrement refaire des briques, l’enduit et changer les poutres.
[7] Ahaha est la fille du couple consacrée au dieu Assur.
[8] Lamassî a eu des difficultés pour se procurer de la laine car les nomades qui viennent tondre leurs moutons à proximité d’Assur ont été retenus au sud par une guerre. Elle demande donc à son mari de lui en envoyer de petites quantités depuis l’Anatolie.
[9] Il s’agit d’Ahaha, fille du couple, qui a bien été consacrée au dieu Assur par la suite.
[10] Michel 2001, n°347.
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Pour citer cet article :
Cécile Michel — «Du côté des lettres - Lettres d’une Assyrienne à son mari et réponse de ce dernier (XIXe siècle av. J.-C.) : comptes entre époux» — Images des Mathématiques, CNRS, 2015
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