La conjecture de Goldbach
le 18 de febrero de 2021 à 16:41, par gilbert lefeu
Bonjour
Je reviens sur cette conjecture , avec un fichier joint , ce fichier explique les raisonnements qui ne laissent aucun doute sur l’impossibilité d’une conjecture fausse. Pour cela il faut comprendre le fonctionnement de l’algorithme de Goldbach , c’est une variante du principe d’Ératosthène, qui utilise les congruences , cet algorithme était inconnu. Son fonctionnement permet de résoudre la conjecture, en utilisant deux propriétés, et une des 8 familles d’entiers naturel positifs, en progression arithmétique de raison 30.
1) le décalage d’un rang des congruences , plus précisément le décalage d’un rang des index, permettant le départ des nombres Premiers $P$ qui criblent pour une limite $n =15k + i$ , dans une famille ou suite en progression arithmétique de raison 30 de la forme $30k + i$ , avec $i\in ( 1,7,11,13,17,19,23,29)$.
2) Une propriété récurrente de l’algorithme, quelque soit l’une des 8 famille $30k + i$ fixée en fonction de la limite $n = 15k + i$ fixée avec $n\geqslant {150}$ ; on en déduit une conséquence directe du TNP : ie, une fonction asymptotique non nul qui permet d’estimer le nombre minimum de couples $P+q = 2n$
Avec cette propriété qui rend impossible l’absence de solution pour la limite $n = 15(k+1) + i)$ de façon évidente.
Autrement dit : quelque soit la limite $2n = 30k +2i$ vérifiée , alors la limite $2n = 30(k+1) + 2i$ serra obligatoirement vérifiée !
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