1er novembre 2019

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  • Revue de presse octobre 2019

    le 1er novembre 2019 à 12:51, par ROUX

    De manière tout à fait contrariante, la couverture du dossier de la revue Le Point pose un problème très mal posé : en effet, quel est le sens des deux pinceaux de la deuxième ligne PUISQUE le signe de la multiplication entre deux symboles est bel et bien présent à la quatrième ligne ?

    Document joint : problememathlepoint.jpg
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    • Revue de presse octobre 2019

      le 1er novembre 2019 à 16:05, par FDesnoyer

      Bonsoir,

      n’est-ce pas la « jurisprudence Auchan » ?

      F.D.

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      • Revue de presse octobre 2019

        le 1er novembre 2019 à 16:32, par ROUX

        Oups !
        Je ne comprends pas du tout et lorsque je moteurderecherchise (du verbe moteurderecherchiser, verbe du premier groupe), je trouve : « C’était faire fi trop vite de l’autre apport, plus important en fait, et toujours valable, de cette jurisprudence « Auchan »  : le juge exerce un contrôle de l’erreur manifeste d’appréciation sur l’équilibre du budget. Il estime, au moins implicitement, que la TEOM est une ressource dédiée et affectée aux OM et qu’il est interdit d’avoir une TEOM trop excédentaire. Et si la notion de contrôle de l’erreur manifeste d’appréciation devrait laisser une certaine latitude… dans l’affaire « Auchan » concernant Lille Métropole, le juge a censuré un excédent… de 2,5 % du budget ! Soit un niveau correspondant à une marge de sécurité »
        Vous n’aviez pas cela en tête, n’est-ce pas ?

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        • Revue de presse octobre 2019

          le 2 novembre 2019 à 09:26, par FDesnoyer

          Bonjour,

          pardon de m’être montré si cryptique : Auchan avait organisé un concours pour gagner 700€, concours basé sur une énigme similaire à celle dont vous parlez, et un étudiant a poursuivi Auchan car il a interprété l’absence de symbole « x » comme une multiplication (en l’espèce, un carré).

          Sa réponse ayant été refusée, il a poursuivi Auchan en justice et a gagné.

          (je vous joins un lien : https://www.ladepeche.fr/2019/09/12/un-etudiant-toulousain-gagne-en-justice-contre-auchan-qui-refusait-dadmettre-sa-victoire-a-un-jeu-concours,8409324.php)

          Comme quoi la justice française (aussi) peut se mêler de maths ! (référence au fameux $\pi=3$ de l’Indiana)

          Bien cordialement,

          F.D.

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          • Revue de presse octobre 2019

            le 2 novembre 2019 à 10:33, par ROUX

            Je vous remercie pour le lien : un de mes fils m’en avait parlé et m’avait même donné à résoudre l’énigme de Auchan (et j’avais trouvé...9...).
            Vos commentaires sont excitants en ce sens qu’ils me proposent des jeux de piste dans la Toile : je ne connaissais rien à ce pi de l’Indiana mais, il y a un lien (Wikipédia : ouf) : merci !

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  • Revue de presse octobre 2019

    le 3 novembre 2019 à 17:26, par Karen Brandin

    J’oscille entre la colère et la lassitude de lire régulièrement depuis la rentrée que le programme de première est à ce point dense que les élèves sont submergés, accablés par l’ampleur des exigences.Je suis des élèves au sein de 10 lycées publics ou privés et finalement après 7 semaines de cours, deux chapitres ont été abordés moralement (et souvent partiellement) : le second degré et les suites, chapitres qui n’ont subi aucune modification par rapport à « l’ancien régime ». Si les choses se passent si mal et vont très largement se détériorer dans le courant de l’année, ce que l’on dispose désormais en première d’un vivier d’élèves aux aptitudes et aux ambitions très disparates. Bien entendu, un élève dont le profil était plus compatible avec une section ES risque de souffrir et faire souffrir lorsque seront abordés les chapitres « trigonométrie et produit scalaire » par exemple. Comment a-t’on pu construire réforme si peu nuancée et qui rende si peu hommage à la diversité des maths ? Je suis incapable de répondre. C’est vraiment consternant ... Surtout quand on pense que cette réforme est l’aboutissement d’une réflexion.

    Les maths ne sont pas une discipline au-dessus des autres (ce caractère de sélection qu’on lui attache systématiquement, elle est la première à en pâtir) mais par contre, elle en irrigue énormément à des degrés divers. Il fallait, s’il s’agissait de réformer cet enseignement, le faire avec plus de subtilité et de discernement quitte à créer des modules de mathématiques spécifiques et orientés : pour le futur matheux, pour le physicien, l’économiste ou pour la culture générale, autrement dit « l’honneur de l’esprit humain ». On est dans une phase où les inégalités entre les lycées, et pire : les classes au sein d’un même établissement sont criantes. Il y a une amplitude des exigences et des ambitions suivant l’enseignant immenses avec des degrés de maturité des notions très différentes.

    L’école, au travers du prisme de cette réforme, n’a jamais été plus inégalitaire. Ce n’est que le début ...

    Merci beaucoup une nouvelle fois pour cette revue de presse très dense.

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