La perspective centrale est devenue à partir du quinzième siècle un instrument privilégié de représentation de l’espace. Elle suppose un point de vue unique, depuis lequel le spectateur est censé regarder. Or, dans certains tableaux, ce point de vue est introuvable, déplacé ou multiplié. Ce sont ces perspectives “impures” que nous souhaitons présenter ici.
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À la recherche du point perdu
Les perspectives impures.
Écrit par
Michèle Audin
Publié le
25 juin 2014
Bien illustré
15 - 30 minutes