Itinéraires de savants géomètres en Algérie au XIXe siècle

Des archives inédites et des études récentes pour mieux comprendre l’Algérie mathématique du XIXe siècle.

Publié le 14 mai 2016
Très illustré
> 30 minutes

Le 23 avril 1863, l’archéologue Louis Adrien Berbrugger (1801-1869), qui avait été secrétaire particulier du Maréchal Clauzel, et qui avait participé à plusieurs expéditions de l’armée coloniale, pouvait affirmer dans sa séance inaugurale de l’Assemblée de la Société historique algérienne, qu’il avait fondée et présidée, que l’Algérie était un pays « sans savants, sans traditions savantes et même sans livres ». Cet article – construit sur des archives largement inédites et des études récentes – conteste cette triple négation. Il y a dans l’Algérie du XIXe siècle des savants, une tradition savante et des livres de sciences. Il y a aussi, venus pour la plupart de Paris, des ingénieurs, des professeurs et des ingénieurs qui y exercèrent leur métier et, en marge, des mathématiques.

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ÉCRIT PAR

Djamil Aïssani

Mathématicien - Université de Béjaia (Algérie)

Pauline Romera-Lebret

Docteur en épistémologie, histoire des sciences et des techniques -

Norbert Verdier

Maître de conférences d'histoire des sciences et des techniques & de mathématiques appliquées - IUT de Cachan, Université Paris-Saclay

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Par exemple, on pourra écrire que sont les deux solutions complexes de l’équation .

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