L’« entente cordiale scientifique »

ou la construction du premier congrès international de mathématiciens

Publié le 9 janvier 2009
Bien illustré
15 - 30 minutes

Dans les années 1870, la comparaison internationale n’est guère favorable à la science française, et nombre de scientifiques comme l’académicien Charles Hermite ou le mathématicien Gaston Darboux expriment une certaine inquiétude. L’isolement du milieu mathématique semble être une première cause des retards qui menacent la discipline. Ainsi, d’après Darboux, la plupart des membres de l’Académie ne s’occupent en aucune manière des travaux publiés à l’étranger.

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ÉCRIT PAR

Anne-Marie Décaillot

Maître de Conférences à Université Paris-V et REHSEIS. - Anne-Marie Décaillot est décédée le 22 novembre 2011.

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