Expliquer les tremblements de terre
El 29 mayo 2013 Ver los comentarios
Este artículo fue escrito en colaboración con Mathématique de la planète Terre

Le site Mathématiques de la Planète Terre (MPT), aujourd’hui Brèves de maths, a proposé, durant toute l’année 2013, une brève quotidienne avec «pour objectif d’illustrer la variété des problèmes scientifiques dans lesquels la recherche mathématique actuelle joue un rôle important, ainsi que certains grands moments dans l’histoire des sciences où les mathématiques ont, en interaction avec les autres sciences, aidé à comprendre ce que nul n’avait compris jusque-là. »
Vous pourrez retrouver la plupart de ces brèves dans notre dossier Mathématiques de la Planète Terre et l’intégralité ainsi que de nouvelles brèves, sur le site Brèves de maths.
Les tremblements de terre - ou séismes - et leurs répliques font l’objet d’études approfondies dans les pays où ils causent régulièrement des dégâts humains et matériels considérables. Les scientifiques disposent d’enregistrements de données qui décrivent précisément la nature de chaque événement sismique (tremblement de terre ou réplique d’un tremblement), son foyer, son épicentre et sa magnitude selon la fameuse échelle (logarithmique) proposée par C.H. Richter en 1935. La structure de ces données est très complexe et on peut constater de grandes disparités d’un séisme à l’autre selon les moments ou les régions où ils se produisent.
Brève rédigée par Vincent Rivoirard (Université Paris-Dauphine).
Pour en savoir plus :
- Prévoir les séismes, Journal du CNRS.
- Peut-on prévoir les séismes ?, réseau sismologique de Nouvelle-Calédonie.
- Y. Ogata (1999) « Seismicity Analysis through Point-process Modeling : A review ». Pure appl. Geophys. 471-507 [En anglais].
- Y. Ogata (1983) « Likelihood Analysis of Point Processes and its applications to Seismological data » Bull. int. Statist. Inst. 50, Book 2, 943-96 [En anglais].
Comparte este artículo
Para citar este artículo:
— «Expliquer les tremblements de terre» — Images des Mathématiques, CNRS, 2013
Comentario sobre el artículo