Figure sans paroles #8.1.18

Figure sans paroles
Publié le 3 juillet 2023

ÉCRIT PAR

Arseniy Akopyan

Chercheur - Institute of Science and Technology (Autriche)

Partager

Commentaires

  1. Reine
    juillet 9, 2023
    10h02

    Cette figure m’intrigue. Partant d’un parallélogramme et de deux triangles équilatéraux (en traits pleins), on en voit apparaître un troisième (en pointillés). Par un argument immédiat d’homothétie, cette propriété équivaut à celle présentée, la semaine dernière, par la Figure sans Paroles 8.1.17. Deux démonstrations différentes, fort simples, en avaient été proposées, toutes deux utilisant cette homothétie. Mais si le site nous a proposé 8.1.17 avant la figure 8.1.18 ci-dessus, c’est sans doute que 8.1.17 pouvait être établie par un argument encore plus simple, évitant l’homothétie. Lequel ?

  2. Hébu
    juillet 10, 2023
    21h05

    cette hypothèse serait fondée sur l’idée d’une « progression » dans la complexité (mot pris ici comme le contraire de simplicité).

    Mais, je rédige ceci la semaine qui suit, après avoir vu la figure suivante (8.1.19) — encore plus simple, on dirait simplissime.

    Ce qui invaliderait l’hypothèse de progression.

  3. Sidonie
    juillet 10, 2023
    23h10

    En effet, on a trois triangles qui ont 2 cotés égaux. Si on note a l’angle le plus petit du parallélogramme deux parmi eux on a un angle a+60° entre les côtés égaux.
    Quant au 3éme un calcul simple donne 360°- 120°- (180° -a) = a +60°.
    Les 3 triangles sont égaux.