Poursuivons le jeu des boîtes à différences, en considérant maintenant n nombres au lieu de quatre au départ. La lecture de cette deuxième partie est un peu plus exigeante que celle de « Boîtes à différences I » mais devrait être à la portée d’un élève de Lycée. La parité des nombres reste le point essentiel du raisonnement, et le triangle de Sierpinski pointe le bout de son nez.