L’examen proposé par l’imagerie par résonance magnétique (IRM) se pose aujourd’hui comme standard dans le dépistage et le suivi des tumeurs cérébrales. À chaque examen, des millions de données multimodales sont mesurées. Pour pouvoir en extraire un maximum d’information, ces données nécessitent un traitement informatique et mathématique. Mais comment passer de mesures variées à des descriptions ou prédictions pour chaque patient ?