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L’art baroque regorge de paradoxes : souvent il trompe pour mieux détromper, et se sert de l’illusion pour faire surgir la vérité. On examine ici un des plus célèbres trompe-l’œil, celui exécuté par le jésuite Andrea Pozzo dans l’église Sant’Ignazio à Rome, et on met au jour la géométrie sous-jacente.