Les diagrammes de Feynman, introduits à la fin des années 1940 par le physicien américain Richard Feynman, permettent de représenter des calculs algébriques compliqués sous forme graphique. C’est un parfait exemple de visualisation de formules par des dessins, permettant à la fois d’alléger les notations et d’éviter les erreurs de calcul.
Dans cette troisième et dernière partie de l’article (partie 1 ici et partie 2 là), nous allons aborder la question de savoir si un développement perturbatif donne bien un résultat fini.