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Les singuliers nombres parfaits suscitent l’intérêt des mathématiciens depuis l’antiquité et ils n’ont pas fini de livrer leurs secrets.
Dans la première partie, nous avons présenté les nombres parfaits, nous avons énoncé le théorème de caractérisation des nombres parfaits pairs et nous avons vu qu’une part de mystère entoure encore ces nombres particuliers.
Pour les lecteurs qui souhaitent aller plus loin, nous allons, dans cette partie, donner des éléments de la démonstration du théorème sur les nombres parfaits pairs et nous donnerons quelques-unes des pistes de recherche menées à propos de la conjecture qui nous intéresse particulièrement : il n’existe pas de nombre parfait impair.
Il est possible d’utiliser des commandes LaTeX pour rédiger des commentaires — mais nous ne recommandons pas d’en abuser ! Les formules mathématiques doivent être composées avec les balises .
Par exemple, on pourra écrire que sont les deux solutions complexes de l’équation .
Si vous souhaitez ajouter une figure ou déposer un fichier ou pour toute autre question, merci de vous adresser au secrétariat.