D’abord une observation élémentaire, puis une question plus générale, un résultat partiel, une conjecture, des pratiquants résolus de l’idée fixe, et une postérité multiforme : ce sont souvent les ingrédients d’un beau sujet mathématique. En guise d’illustration, voici une présentation du problème de la fin heureuse, plus connu en français (et sans doute en hongrois) sous le nom du happy end problem.
Les couleurs de cet article sont le rouge pour l’essentiel avec un peu de bleu au début et du noir vers la fin. La plupart des références sont hors piste.