On oppose souvent l’utilité des mathématiques à leur gratuité, leur beauté ou leur caractère plaisant et délectable. Le 15 juin 2010, devant les respectables membres de l’Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, les auteurs ont divagué à ce propos, en invoquant divers ouvrages récréatifs ou non de savants des XVIIe et XVIIIe siècles. Heureusement, une servante a réussi à arrêter le combat avant qu’il ne tournât mal.