Ayant été collègue de Bézier, j’ajouterai que Bézier voulait construite des surfaces de classe C2,
de courbure continue . Il s’agit d’une exigence d’esthétique.
Il existe aussi l’approche B-Splines, description à l’aide de polynômes par morceaux. Les coefficients de la décomposition sur la base B Splines sont les sommets de polygones de Bézier.
Je ne connais pas d’analyse comparée des deux méthodes